Montage / Diaporama photographique sur l’une des formes paysagères les plus courantes en France et en Europe, le champ. L’enjeu de ce travail est de questionner notre perception de ces paysages banals et fonctionnels voués à la production agro-alimentaire de masse.
Habiter, circuler, travailler, telle est l’utilisation que nous faisons de ces territoires, machinale c’est à dire à la fois mécanique mais aussi sans réflexion pérenne car prise dans l’engrenage d’un système économique. Cette mise à plat de nos modes de vie tend à souligner le lien étroit existant, entre industrialisation du paysage et la pauvreté biologique, visuelle et culturelle qu’il en résulte.
Mono-tonie.